Tolerance.ca
Directeur / Éditeur: Victor Teboul, Ph.D.
Regard sur nous et ouverture sur le monde
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Bloc-Notes de Victor Teboul
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Je viens de lire la chronique de François Cardinal, l’éditeur adjoint de La Presse. S’agit-il d’une chronique ou plutôt d’un éditorial, car son article intitulé « Extrême droite, vous dites ? », daté d’aujourd’hui, le 16 juin 2024, ressemble davantage à un manuel du parler bien qu’une analyse des mouvements d’extrême droite qui ont aujourd’hui la cote en France. J’ai inversé l’adverbe car il ne s’agit pas d’un article sur l’usage grammaticalement correct de la langue, mais bien des mots qui sont susceptibles de heurter les lecteurs (lire les âmes sensibles). Un peu comme dans les films projetés aujourd’hui qui débutent invariablement en vous avertissant qu’ils contiennent des scènes de nudité qui peuvent vous choquer ou même que des personnages fument des cigarettes, ce qui risque de vous perturber (ok, j’exagère, mais à peine). (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Je m’adresse à la députée de Québec Solidaire, en espérant qu’un jour je pourrai en débattre en public avec elle, Mme Ghazal ayant toujours ignoré mes invitations d’entrevue sur Tolerance.ca  contrairement à ses collègues, comme Mme Christine Labrie, ou M. Amir Khadir, qui a participé aux débats publics organisés par Tolerance.ca.  Comme Mme Ghazal évoque souvent son passé de réfugiée palestinienne, je souhaite lui rappeler que des centaines de milliers de Juifs ont été expulsés d’Égypte à la fin des années 1950 et que plus d’un million de Juifs ont dû aussi quitter les pays arabes, à cause notamment de la xénophobie et de l’antisémitisme du nationalisme arabe. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
J'ai abordé dans ce roman le conflit israélo-palestinien vu de Montréal. Je garde un excellent souvenir de mon entretien avec M. Raymond Desmarteau à Radio-Canada International, lors de la sortie du livre, en 2011. Bienvenue chez Monsieur B. ! est un roman sur le pouvoir et les manipulations auxquelles il donne lieu. La naïveté et la candeur du personnage principal, Maurice Ben Haïm, font qu'il se place dans des situations qu'il n'a pas vraiment choisies. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Je remarque la présence de la légendaire Léah Roback dans cette photo, ci-dessus, affichée sur la page FB de « L'Autre Montréal », le 8 mars dernier, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.  On reconnaît aussi sur la photo mesdames Françoise David, au centre, et Madeleine Parent, à droite, deux autres figures marquantes des luttes progressistes au Québec. (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Un article de La Presse, daté 3 février 2024, vantait l’esprit d’ouverture des Montréalais en désignant certains hôtels et restaurants, lesquels, selon le Green Book que découvre la journaliste, « accueillaient à bras ouverts les visiteurs noirs », alors que régnait, ajoute l’article, la ségrégation. Le texte ne précise pas où régnait la ségrégation raciale, et l’on présume qu’il s’agirait des États-Unis.

Or, j’ai débarqué, comme on le sait, en 1963 à Montréal, et mes premiers amis au Québec étaient tous des Noirs, ils étaient originaires de la Barbade et de la Jamaïque. (Texte intégral)

par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Dans sa dernière chronique notre sympathique humoriste devenu chroniqueur conformiste à La Presse prend pour cible, ce samedi 2 décembre 2023, Donald Trump, qu’il désigne par son prénom. Mais qui au Québec admire cet homme charmant, mais xénophobe ? « En attendant sa revanche, commente Boucar, revenons à ce fameux sang américain qu’il cherche à protéger de l’empoisonnement. …D’abord, qu’est-ce que du sang américain ? Est-ce que c’est le sang des Blancs de descendance européenne ? » (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Je me suis joint au devoir de mémoire le 27 novembre dernier, sur la page Facebook d’Yves Thériault, en rappelant le grand écrivain qu’il fut. Né à Québec le 27 novembre 1915, il est décédé le 20 octobre 1983. Je me souviendrai toujours des conversations intenses et amicales que j’ai eues avec lui. Auteur du roman « Aaron», il a été un des premiers écrivains à s’intéresser aux Québécois d’autres origines. « Aaron » parue dans les années 1950, a été la première œuvre québécoise consacrée à la communauté juive hassidique de Montréal.  (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Quatre enfants et cinq femmes âgées figurent parmi les premiers otages libérés par le Hamas, ce 24 novembre 2023, dont on trouvera la liste des noms plus bas, suivis de leur âge. La plus jeune d’entre eux a 2 ans. La plus âgée 85. Ils ont été enlevés le 7 octobre 2023 par ceux qu’on appelle des « résistants », car ce sont des menaces à la cause palestinienne, et donc des ennemies : Aviv Asher, 2 ans, photo ci-dessus, une menace ?  (Texte intégral)
par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
Il faut écouter la réplique de Tania de Montaigne qui a bien répondu au Québécois Kevin Lambert, dont le roman Que la joie demeure a été encensé au Québec sans que l'on ait osé critiquer son auteur. Il nous faut lire la dénonciation du politiquement correct que fait Tania de Montaigne dans son roman Sensibilités, ainsi que dans cet entretien de La Grande Librairie, ce politiquement correct qui nous vient en droite ligne du Canada anglais, auquel s'est plié Kevin Lambert.

Tania de Montaigne refuse justement de jouer à la «bonne noire» pour plaire aux Blancs. (Texte intégral)

par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca®
J’ai passé cinq ans de mon adolescence (1957 – 1962) à l’École anglaise de Paris, mieux connue sous le nom de English School of Paris (aujourd’hui British School of Paris). C’est une période que j’ai très peu évoquée dans mes écrits et qui pourtant m’a considérablement marqué. Mais j'ai eu l'heureuse surprise récemment de découvrir la page Facebook, The Old Parisians, créée par des anciens de l'École, qui m'a permis de me replonger dans cette période fascinante de mon adolescence.  (Texte intégral)
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