Des zones du fleuve Saint-Laurent défavorables à la survie des espèces envahissantes deviennent des refuges pour les poissons indigènes
par Alison Derry, Professeure agrégée, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Cristina Charette, PhD Candidate, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Olivier Morissette, Assistant professor, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
La relation entre la conductivité et l’abondance du gobie à taches noires, espèce envahissante, et les impacts écologiques qui y sont associés, représente un outil simple d’évaluation des risques.
Lire l'article complet
© La Conversation
-
mercredi 10 août 2022