Les médias ont moins d’argent pour couvrir les campagnes électorales et ne suivent plus les caravanes… ni les spin doctors. Est-ce pour le mieux ?
par Patrick White, professeur de journalisme , Université du Québec à Montréal (UQAM)
La couverture officielle des campagnes électorales entraîne des frais exorbitants pour des médias appauvris. Ils couvrent désormais de manière plus ponctuelle, voire anecdotique. Est-ce pour le mieux ?
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mercredi 25 août 2021