Les jeunes enfants victimes d’agression sexuelle n’ont pas de voix dans l’espace public
par Rachel Langevin, Assistant Professor, Counselling Psychology, McGill University, McGill University
Martine Hébert, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Le mouvement #MeToo a permis aux victimes d’agressions d’être entendues dans l’espace public. Les enfants, qui forment une grande proportion des victimes de violences sexuelles, demeurent sans voix.
Lire l'article complet
© La Conversation
-
mardi 12 octobre 2021