Un autre typique exemple de gaspillage des précieuses et déclinantes ressources de l’état engagées pour dénigrer l’image de l’homme
C'est le comédien Patrice Robitaille qui en sera le porte-parole.
Ce comédien ignore probablement dans quel sorte d’entreprise de désinformation il vient de s’impliquer, mais il n’est jamais trop tard pour se raviser…
Selon les données émanant du ministère de la Sécurité Publique, 17 321 actes de violence conjugale ont été commis en 2008.
Jusqu’en 2004, le chiffre magique véhiculé était plutôt de « 300 000 femmes battues chaque année au Québec ». Le chiffre actuellement colporté représente manifestement une diminution appréciable de plus de 94% par rapport aux données martelées inlassablement depuis une vingtaine d’année. C’est encore ce même mensonge concernant les 300 000 femmes présumées victimes qui à l’époque avait servi de prétexte pour justifier la mise en place de mesures d’exception adoptées sans débat public. Ces mesures arbitraires ciblant précisément les hommes en situation de rupture conjugale contreviennent aux dispositions de toutes les lois applicables en la matière, y compris la fameuse charte et le code criminel.
Le nombre de plaintes évoqué dans la présente campagne est utilisé de manière tendancieuse. Il ne s’agit en aucune façon d’«actes de violence conjugale avérés, mais uniquement de simples allégations, déposées sous forme de plaintes par des personnes des deux sexes auprès des différents services de police. En réalité, plus des 2/3 de ces plaintes se soldent soit par un non lieu pour insuffisance de preuve, un acquittement pur et simple ou encore le retrait des accusations et l’abandon des procédures, faute de «victime» disposée à témoigner pour la poursuite.
Parmi les dossiers qui demeurent, un grand nombre d’accusés accepteront un plaidoyer « allégé » de culpabilité en signant un engagement en vertu de l’article 810 du code criminel. Ainsi, les accusés économisent d’importants débours en honoraires professionnels indécents et beaucoup de stress lors d’un procès à l’issue incertaine instruit devant un tribunal assujetti à une idéologie misandre. L’article 810 du code criminel permet en effet au ministère public d’éviter la mise en scène de simulacre de procès destinés à couvrir l’arbitraire des gestes posés par les policiers qui arrêtent systématiquement le conjoint, conformément aux dispositions de la « Politique d’intervention en matière de violence conjugale », sans égard aux faits.
Cette «politique» qui n’est pas une loi ouvre toute grande la porte aux fausses allégations qui ne seront jamais sanctionnées. Elle autorise les arrestations arbitraires et mine l’intégrité du processus judiciaire assujetti à la «politique». Or lorsque le judiciaire est mis au service de la politique, nous entrons de plein pied dans le domaine peu fréquentable de la tyrannie. Cette politique doit être répudiée et une enquête sur le cheminement du gros mensonge doit être initiée afin de rassurer la population au sujet de l’intégrité de nos institutions. |