par Anne-Marie Sicotte
Les mots-clôtures ne m’inquiètent jamais autant que lorsqu’ils deviennent des mots-matraques. La nuance est subtile, mais éminemment significative. Un mot-clôture est une maladresse, un malaise ou même un pavé dans la mare pour mettre un terme à une discussion troublante entre deux personnes qui se situent à égalité relative sur l’échelle de la position sociale. Un mot-matraque est un coup vicieux généralement porté par celui qui détient le pouvoir à celui, ou celle, qu’il veut dominer.
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Je suis entièrement d’accord avec les objectifs de Tolérance. Cependant j’aimerais apporter quelques précisions sur les termes. Mon attitude envers l’autre, ses opinions, ses prises de positions serait plutôt qualifiée de respect.
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Invitation au Débat-rencontre soulignant les 10 ans de Tolerance.ca.
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Fondé en 2002, par Victor Teboul, Tolerance.ca posait la question à cinq personnalités du monde journalistique, culturel et universitaire : Henry T. Aubin, Louis Balthazar, Lise Bissonnette, Jacques Godbout, Michel Leduc.
«Se connaître soi-même, connaître d'où on vient, constituent des éléments clés d'une société tolérante » - Henry T. Aubin.
Henry T. Aubin est chroniqueur au quotidien The Gazette de Montréal. Il a été reporter pour le Washington Post et lauréat du National Newspaper Award. Il est l’auteur de The rescue of Jerusalem. The Alliance Between Hebrews and Africans in 701 BC (Doubleday Canada, 2002).
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Voir aussi Tolerance.ca : Dix ans déjà !
Quelles sont les formes de discrimination que l’on observe sur le campus? Comment se manifestent-elles? Peut-on venir à bout de la discrimination, qu’elle soit raciale, linguistique, religieuse ? Si oui, quelles sont les pistes de solution? Le groupe Tolerance.ca® et le Département de communication publique de l’Université de Sudbury ont organisé un événement qui regroupait autour de la table, sur le campus de l'Université de Sudbury, cinq étudiants des Universités fédérées de la Laurentienne à Sudbury, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale (21 mars).
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Daniel Baril. Les symboles religieux ne posent habituellement aucun problème; c'est lorsqu'ils sont associés à des positions intégristes antimodernité qu'ils heurtent les fondements de la démocratie et qu'ils nécessitent une extrême vigilance de la part des groupes progressistes. Je considérerai ici le hidjab, le kirpan et la kippa (on aurait aussi pu discuter des crucifix et de la prière dans les hôtels de ville) séparément parce que ce sont trois objets différents ayant chacun ses implications particulières.
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par Neil Caplan, Ph.D., London School of Economics and Political Science, membre de Tolerance.ca ®
À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, le département des sciences humaines du collège Vanier a organisé, de concert avec Tolerance.ca®, un débat portant sur la diversité des valeurs et des croyances religieuses. Fariduddin Rifai, étudiant en arts, Maureen Jones, professeure de sciences humaines et Sevak Manjikian, professeur de sciences humaines/étude des religions et membre de Tolerance.ca® y participaient.
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Photo : Gunther Gamper La diversité religieuse dans nos sociétés est à la fois une richesse et une source de conflits.
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Pour souligner la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, Tolerance.ca®, son directeur, Victor Teboul,et toute l’équipe du webzine ont le plaisir de vous inviter à une soirée de discussion.
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par Victor Teboul, Ph.D., Université de Montréal, Directeur, Tolerance.ca ®
Rencontre des membres de Tolerance.ca au restaurant Rumi, situé dans l'arrondissement d'Outremont, en 2004.
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