Les enzymes, ces « nanomachines du vivant » qui pourraient transformer des déchets plastiques en ressources
par Bastien Bissaro, Chercheur sur la biodiversité fongique et les biotechnologies, Inrae
Fanny Seksek, Doctorante au Laboratoire de Biodiversité et Biotechnologies Fongiques, Inrae
Les déchets plastiques sont une plaie désormais bien identifiée. Certaines enzymes – des protéines très spécialisées, véritables nanomachines – sont capables de dégrader des molécules similaires aux plastiques de consommation courante.
Une enzyme microbienne, capable de s’attaquer à la barrière protectrice de plantes, a été détournée pour recycler le PET, un plastique dont on fait les bouteilles d’eau.
Chaque année, 400 millions de tonnes de plastiques sont produites sur Terre, soit la masse de 40 000 tours Eiffel. Environ
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mercredi 28 mai 2025