« Quiet quitting » : Au-delà du buzz, ce que révèlent les « démissions silencieuses »
par Maëlezig Bigi, Chercheuse affiliée au Centre d’études de l’emploi et du travail, Co-directrice du Groupe d’études sur le travail et la santé au travail (GIS Gestes), Maîtresse de conférences en sociologie, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
L’attention autour du terme de « quiet quitting », qui consiste à se limiter au strict minimum, pourrait refléter l’émergence d’un mécanisme de défense face à un travail qui n’est plus tenable.
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lundi 17 octobre 2022