Lire «Le ciel sous nos pas»

Le temps qu’il fait à Paris s’harmonise avec l’écriture et la lecture de ce texte. La grisaille synonyme de déception d’un paradis tant attendu coïncide avec la grisaille qui accompagne le rite de la lecture. Autrement dit, la temporalité de l’écriture va de pair avec celle de la lecture, sauf que l’ici et maintenant de la lecture exige la continuité de crainte de ne pas casser le rythme de l’assimilation et tomber dans l’oubli. Or la longévité de l’écriture impose d’autres cérémonies telles que le langage, l’imagination et la fiction nourrie par la métaphore.

Vous devez souscrire à un forfait d'abonnement pour accéder à la version intégrale de cet article. Si vous en avez déjà un, veuillez vous connecter.

Profitez d’un accès illimité à Tolerance.ca pour moins de 10 cents canadiens par jour (moins de 7 centimes d’euro).

Je souhaite m'abonner | Se connecter

~	La notion du corps dans Ce que je sais de Monsieur Jacques, roman de Leïla Bahsain

~	EFFACER de Loubna Serraj

~	Lire Ce que je sais de monsieur Jacques

~	Lire « Par Dieu, cette histoire est mon histoire ! »

~	Hommage à Mahsa Amini, battue à mort en Iran pour ne pas avoir porté le hijab correctement

~	L'histoire de Hana : l’écriture de femmes issues de l’immigration est en train d’imposer sa signature

~	Dans la peau du poète de Safi

~	Liberté et autonomie dans Les sentiers de l’indiscipline de Driss Ksikes

~	Brûlures d’immigration

~	La conversion et l’intégration dans «La théorie des aubergines» de Leïla Bahsaïn